Néfret, une belle jeune fille amnésique est recueillie par une famille dans l’Egypte ancienne. Alors que sa nouvelle vie semble paisible, une série de mystères viennent bouleverser le quotidien de Nefret. Qui est-elle vraiment ?

Ainsi débute La Marque, première bande-dessinée de Stelli. J’ai suivi son développement sur diverses plate-forme internet, mais c’est surtout sur Bdamateur que j’ai eu le loisir de voir les crayonnés, l’évolution du projet.

L’histoire est classique dans sa construction, ce qui est rend la lecture facile et agréable. Le découpage, soigné reste au service du récit et ne se perd pas en effets inutiles.

Le dessin se cherche encore, mais c’est tout à fait normal pour une première œuvre, sans pour autant être approximatif. On sent un grand souci du réalisme chez Stelli. Il y a des passages très réussis et parfois des prises de risques dans les vues qui montrent que l’auteure est soucieuse de progresser.

Au final, une première bd qui mérite d’être lue. La suite est annoncée, gageons qu’elle sera d’un niveau égal voir supérieur.