Les Chroniques des Territoires : Tome 2 et nouvelle édition du Tome 1

Le tome 2 est donc terminé. Enfin, le premier jet. J’en suis déjà à la deuxième relecture. Constat :
– Il me faut rajouter entre 4 à 5 chapitres pour assurer une meilleure transition.
-Surtout, les retours du tome 1 que j’ai pu avoir m’orientent vers l’apparition des héros de « Marl le Chevrier ». Ils sont donc bien là, certains au premier plan, d’autres en fond.  Il a donc fallut revoir l’entière structure du roman. A la base, je voulais centrer le livre sur un jeune Hache. Ce sera encore le cas, mais les héros de Marl ont décidé qu’ils seraient là ! Je ne peux pas vous en dire plus, au risque de dévoiler aux futurs lecteurs du Tome 1 des détails qui nuiront à la découverte du livre.

Je pense que d’ici quelques semaines le Tome 2 va partir chez mon relecteur officiel. Nous sommes donc en bonne route pour une publication en février-mars-avril.

Autre grande nouvelle, Emmanuel Millet, mon éditeur m’a annoncé qu’une nouvelle édition de Marl le Chevrier devrait voir le jour ! La nouvelle Leinad y prendrait place. Je vais tenter d’y intégrer un glossaire des personnages. La nouveauté de cette édition, c’est surtout la couverture qui va changer ! Oui ! Nikus Tim’s proposera une nouvelle couverture. Il travaille en ce moment aussi sur la couverture du tome 2 et sur un projet dont je ne vous parle pas encore mais qui rend l’auteur que je suis fou de joie ! Un grand merci à l’éditeur qui fait vivre cet univers avec la même passion que j’éprouve en l’écrivant.

Les lecteurs qui étaient au salon de La Fouillade ont été les premiers à voir la nouvelle couverture, mais en noir et blanc. Elle sera en couleur, bien sûr.

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Commentaires

Oui, bonne nouvelle ! Et puis

Oui, bonne nouvelle ! Et puis dis-donc on voit que tu as sacrément bossé pendant cet été ! Bien content de me dire que l'on pourra lire la suite ! ...j'approche de la fin du premier tome ! Drôlement bien et très inattendu en ce qui me concerne . 

Merci beaucoup les copains !

Merci beaucoup les copains !

Kaal : oui, je vais avoir besoin de courage pour les chapitres en plus car il faut arriver à les écrire sans rater les racords.

Philippe : merci beaucoup ! C'est chouette que tu arrives à la fin du roman avec une sensation d'inattendu. J'attends ton retour avec impatience. J'ai passé mon été sur le tome 2. Un vrai plaisir.

Pour la nouvelle édition, je tiens à vous faire part de mon sentiment sur l'ensemble de cette aventure. La joie du début a toujours été présente depuis que j'ai signé le contrat d'édition. Ensuite, je me suis fais du souci pour les ventes. Je ne voulais pas qu'Emmanuel (mon éditeur) se retrouve avec un livre qui ne se vendrait pas. Je savais qu'au moins 24 personnes allaient l'acheter. Je m'étais donc donné comme objectif d'en vendre 30. Quand le palier a été atteint, le reste des ventes était du bonus. A chaque fois je me disais "Voilà, un de plus, Emmanuel va être content". L'étape suivante a été le fait d'une discussion avec un autre écrivain. Ils me disaient que sans pub, sans un réseau de diffusion, je ne vendrai pas, que mon éditeur ne voudrait plus de moi. Etais-je dans cette état d'esprit ? J'ai passé plusieurs semaines à me poser la question en profondeur. J'en ai parlé un peu avec Nicodren, puis avec Emmanuel. Ils m'ont tous les deux rassurés : peu importe les chiffres des ventes. Il y a eu ensuite le festival de La Fouillade.
Les auteurs présents ont été très contents de me voir partir avec un carton vide le dimanche au soir. Emmanuel avec qui j'avais tablé sur 4 à 5 livres vendus, m'a félicité. Et puis... il y a eu un auteur, une grosse écurie qui me lance : "mon premier livre, lors de mon premier salon c'est plus de 300 livres vendus en deux jours", et il me tapote sur l'épaule.

Au final... je ne cours pas après la vente et le best-seller. Je souhaite que les lecteurs du livre puissent passer un bon moment en lisant. Comme dit Emmanuel, je n'ai pas un très grand réseau de fans. Il y aura donc un petit nombre de ventes. Quand on vend par internet, quand on est pas distribué en dépôt-vente en inondant les librairies, cela se fait petit à petit. J'aime cet aspect justement de progression lente. Les lecteurs qui vont chercher Marl et ses suites seront de véritables amateurs de mon univers. Et ça, c'est à la fois précieux et très motivant.

Voilà, voilà... :) :)

C'est certain que sans

C'est certain que sans distributeur on ne peut pas faire de grosses ventes. Ce qu'il faudrait, c'est mettre en place un réseau de particuliers qui fréquentent régulièrement les librairies et qui seraient payés à coup de livres. Y'a peut-être une idée à creuser.